Défendre au niveau européen un salaire minimum européen, au moins égal à 50 % du salaire moyen et 60 % du salaire médian.
Un complément de 50 € bruts pourrait être également demandé, y compris pour les pays proches ou dépassant les seuils mentionnés.
Améliorer l’accessibilité à l’emploi des seniors, des jeunes ou des personnes en situation de précarité, en favorisant les formations qualifiantes, seules à même de valider les compétences acquises et de faciliter les reconversions professionnelles.
Développer des mécanismes d’alerte sociale au niveau européen et national, afin de prévenir d’éventuels retards dans l’atteinte des objectifs du socle européen des droits sociaux.
Concevoir au plan national et européen une véritable démarche de souveraineté dans les principaux domaines économique (industrie, énergie, numérique, santé, etc.).
Favoriser un mix énergétique équilibré, valorisant à la fois les investissements dans le nucléaire de nouvelle génération et dans les énergies renouvelables.
Création d’une taxe carbone aux frontière de l’UE, afin d’appliquer aux biens importés hors UE les mêmes niveaux d’exigence qu’aux biens produits localement.
Accentuer le devoir de vigilance des entreprises à la fois au plan national et international doit être une priorité : celui-ci doit être à la fois social (conditions de travail et de vie, etc.) mais aussi écologique (émissions carbones, déforestations, etc.).